Le musée Gagarine est situé dans le centre du historique du cosmodrome situé non loin du pas de tir n˚1 (toujours en service) d'ou s'envolèrent Spoutnik et Gagarine C’est un musée à l’ancienne, plein de documents, de photos, de maquettes et d’équipements spatiaux.  Une série de tableaux d'Arkadii Tiourin qui travaillait sur le cosmodrome photographiés malheureusement avec un mauvais éclairage.  DSCF2461 mod  DSCF2467 mod 
En avant plan les maquettes des maisons de "Gagarine" et de "Korolev", plus loin une capsule spatiale pour lapin, en haut une maquette du premier Spoutnik (en Russe Spoutnik veut dire satellite).  Intérieur de la capsule Soyouz  Siege éjectable de capsule Vostok utilisée pour les premier vols habités. Lors de ces vols, le cosmonaute s'éjectait en altitude pour redescendre en parachute.  En avant plan, le siège éjectable, en arrière plan le tableau de commande du premier vol habité. 
Capsule Soyouz, en service depuis 1967 et toujours utilisée pour desservir la station internationale. Le cosmonaute Vladimir Kamarov, périt lors du vol inaugural en Avril 1967.  J'ignore l'origine de cette plaque.  La maison de Gagarine A coté du musée se trouvent les maisons dites de « Gagarine » et de « Korolev ». Gagarine passa la nuit avant le lancement, en compagnie de sa doublure Titov, dans la première maison. Par tradition, les cosmonautes suivants passèrent également leur « dernière » nuit dans cette maison. La maison est très petite et ne comporte que trois pièces : un séjour, une chambre et un cabinet médical.  DSCF2500 
La chambre où Gagarine passa la nuit avant le lancement, en compagnie de sa doublure Titov (il y a un autre lit du coté opposé !). C'est seulement au matin du jour de lancement (le 12 avril 1961) que Gagarine fut choisi comme premier cosmonaute.  Séjour de la maison de "Gagarine"  La seconde maison, identique à la première, est de Korolev, le père de la fusée qui transporta Gagarine dans l’espace. Il y vécut de 1956 à 1965.  A l’époque, le trajet entre la ville de Baïkonour et le site d’assemblage et de lancement prenait plusieurs heures.  Il fallait un certain dévouement pour habiter cet endroit aussi longtemps et dans des conditions aussi éprouvantes (été +45 ˚C, hiver –35 ˚C).  C'était peut être plus facile pour Korolev qui avait passé de nombreuses années au Goulag et qui risquait d'y retourner en cas d'échec. Ici, son bureau. Le téléphone était relié directement au Kremlin.